Le grand retour de l'auteur !!! Je voudrais m'excuser pour avoir laisser mon blog en stand by un moment... Donc voila : Au gens qui
passent sur mon blog fréquement, excusez-moi de vous avoir déçus à chacun de vos passages, et dorénavant, je ferais en sorte de faire moins de fautes d'écriture et d'orthographe, mais surtout :
DE CONTINUER MA FIC' JUSQU'AU BOUT !!! Youpi Donc, sans plus attendre : La suite !
Nous sommes sortis après que Mindy et moi eûmes
remis ce qui devait l'être, et je la laissais passer en premier, comme j'avais l'habitude de le faire constement avec les filles. Je sais pas pourquoi, mais ça me fait plaisir. Elle me fit un
grand sourire coincé doublé d'un air hautain en caricaturant une de ces vieille bourge bien faux-cul de la hôôôte société, oui môssieu, de la hôôôte. Je ris. Elle est sympa, Mindy, je l'aime
bien. David m'a souvent dit que je suis un gamin avec les filles hétéro, et qu'Erika est la seule exeption.
J'ai peut être trouver une autre exeption, je crois, à moins que celle-ci soit lesbienne, mais ça m'étonnerais.
Sinon avec ses copines, hier au bar, elles auraient pas hésiter à se peloter. Je crois, hein.
-T'as un copain ?
-Hein ?
-T'as quelqu'un ou pas ?
-...Non.
-Alors t'es célib' !
-T'as compris ca tout seul comme un grand ?
-Voui !
-Oh, il est pas bécassou, alors, le petit Jeffrey.
-Nooon !
Elle peut pas s'empêcher de me chercher, et moi, je peux pas m'empêcher de faire pareil. Elle me taquine en me parlant comme à un gamin, et moi, je
lui répond comme un gamin... Je suis très joueur comme garçon, et là dessus, faut pas me chercher, sinon, je m'arrête jamais. Tant pis pour Mindy, elle a commencé, elle va voir !
Sur ce, Jeff s'assit sur ce qui devait être destiner à l'usage de banc, et je fit de même à coté. Combien on parie qu'il allait continuer sur le ton de la taquinerie ? Il dit :
-Depuis quand ?
-Depuis quand, quoi ?
-Ca fait combien de temp que t'as persone ?
-Deux semaines.
-Ah. C'est toi qui l'as largué ?
-Nan, l'inverse.
-Désolé.
-Pas grave, jmen fout, tu sais ! C'était un plan cul.
-Ahh... C'est depuis que t'as vu le mien. Tu veux plus en voir un autre...
-Ohhh ! Si tu savais... J'y repense soirs et matins, et chaque fois, je me demande pourquoi ce jour-là, je n'avais pas un apareil photo !
-T'aurais dus nous en demander un, on t'en aurait peut être prêté un, qui sait ?
-Benn... J'y ait pensé. Mais je me disait que... Vu que t'avais pas l'air de pouvoir rentrer chez toi, c'était peut être un peu déplaçé, tu vois ?
On a riogolé un petit moment, et puis on s'est arrêté, je sais plus pourquoi. Jeff est resté pensif.
Je le regardait un peu, du coin de l'oeil... Un dieu grec. Ce type ressemble grave à une statue quand il est immobile comme ça, avec
les yeux dans le vague, les cheveux un peu rebels genre presque bouclés, en plus il est taillé bien comme il faut et il a un nez absolument droit. Et ses yeux... Je vous dis pas
!
Des yeux magnifique, bleus comme je sais pas quoi, profonds, et puis il a quelque chose d'autre... Un truc. Un truc indescriptible qui
fait qu'on a envie de jouer avec ce type. Un truc qui te met au defi, un peu. Mais ça ressemble pas vraiment à de la provoc' pure et dure, c'est ça qui est dur à expliquer...
Bref. Il a clairement une tête de statue. De dieu grec, pour être plus précise. J'ai toujours voulu m'en taper un, d'Apollon, voir si
c'est aussi bon au lit que c'est beau, mais bon, si je continu sur la ligne des fantasmes, on a pas fini !
Je continu, mais qu'un peu. Mon grand keef, ce serait en apesanteur. Ouais, en apesanteur... J'ai des idées qui viennent rien que d'y penser... Hmm, en plus j'ai une bombe
atomique à coté de moi... J'arrête. C'est homo déclaré, dans un relation serieuse, il habite même avec son copain, et tou les deux on l'air de s'entendre à merveille. En plus, le blond à
l'air vraiment super sympa.
Merde. Calme, Mindy, calme. Tu te trouveras bien un hétéro, un jour. Est-ce que je suis pas en train de vouloir me taper un homo, moi ? Remarque : Vu comme il est canon, c'est pas
étonnant d'être attirée, en plus, je m'entend très bien avec lui et il me cherche. Normalement, les beaux mecs sont des nuls, du moin pour les hétéros. Et puis serieusement, je pense pas
que...
-Pourquoi il t'as larguée ?
-Hein ?
-Ton plan cul.
-Ohh. Pour une connerie.
-Dis !
-Nan. Nan, c'est trop con !
-Aller !
-Roooh, mais il va se calmer, superman ?
-Surement pas !
-Bon d'accord. C'est... En fait, comparées aux tiennes, ses fesses ne sont pas aussi rondes et...
-Menfin ! Mon cul tu l'a vu hier ! Il t'as largué quand, tu m'as dit ?
-Il ya deux semaines.
-Alors avoue-moi la véritée vraie.
-Celle qui est véridique ?
-Celle-là même.
-... Non.
-Maiiiis, euuh.
-Fais pas le gamin.
-Bon. C'est bien parce que ça a l'air de t'embêter, hein ! J'aime bien t'embêter, mais pas quand ça te saoule. J'ai pas envie de te saouler. Au fait, t'as quel age ?
-Vingt et un. vingt-deux cette année.
-Hmmm. Alors ca va, tu peux voir mes fesses sans être choquée.
-Aux dernières
nouvelles, je me suis pas arrêtée aux fesses.
-En plus !
Nous sommes rester à parler et à rigoler sur n'importe quoi, et puis j'entendit David me crier :
-JEFF !!! T'es où ?!
-Là !
-Tu viens danser avec moi, mon canard en sucre ?
-Hein ?
-Vien ! On va s'éclater !
Sans plus attendre, David m'a tiré par le bras et entraîné sur la piste. Il avait bu. Il puait l'alcool à trois cent mètres, et délirait. Mon canard en sucre, il me
l'avait pas encore fait, celle là. On était donc en plein dans la masse euphorique de danseurs, à cette heure à peu près bourrée et shotée pour la plupart. Les gens dansaient, bien collés les uns
contre les autres, parfois se frottaient un peu plus explicitement, à deux, trois, quatre, ou en masse, ou alors se passaient des mains sous les tee-shirts ou dans les pantalons, au choix.
J'opterais pour le pantalon.
David, en ce moment même, face à moi, frottait sa cuisse contre mon entre-jambe, et inévitablement, je faisait de même. Nos torses remuaient, et nos épaules se croisaient, sans jamais vraiment se
coller l'un à l'autre, nous nous cherchions.
Quand un morceau plus rythmé et moins suave éclata des baffles, David poussa un cri d'exité et se mit
à faire ce mouvement célèbre, et très sexy quand il est bien fait, qui consiste à secouer les épaules en se penchant en avant, puis en arrière. Je fis de même.
Nous allions assez lentement, on prenait le temps de savourer les moments les plus délicieux,
quand nos lèvres s'entrechoquaient et que nos souffles se croisaient.
Sa cuisse me frottait serieusement.
Je sentais son haleine puant l'alcool, mais pourtant enivrante me remonter jusqu'au cerveau. David retira
sa cuisse après avoir bien oeuvré avec, et se colla contre moi, de dos. Il fit faire à ses fesses, qui d'ailleurs, donnent des idées pas très catholiques à n'importe qui, à peu
près la même chose qu'avec sa cuisse, mais en plus intense encore, avec le petit déhanchement incessant et souple dont il a le secret. Lentement, je lui mordillais le lob l'oreille tout
en lui passant mes mains sous son jean. Il frissona, et pour toute réplique, claqua ses mains sur mes fesses, appuiyant encore plus ma zone sensible contre ce qui la faisait plutôt très
bien réagir.
Comme ça, avec la musique et le sexe, on oublie tout, et tout ceux qui nous entourent. On s'en fout de qui peut bien nous regarder, on lui souhaite de bien baver, parce que c'est le
pied. Avec David, on compte bien se faire plaisir à deux. De manière explicite, bien sûr.