pistols-story

Merci à Fendouille pour ce dessin. Fait rien que pour moi !!!


Alors lui !!! Même crevé il est d'attaque... Ca va bientôt faire deux ans que je suis avec Jeff, six mois de loyer commun et pas une seule fois je me suis ennuyé avec lui. Là, en ce moment, il est assis sur mon ventre, pas loin de la bosse de mon boxer. Il retire son tee-shirt d'un bras de manière très sexy, déboutonne lentement les deux seuls boutons attachés de ma chemise, puis .

Il est bien foutu, le pire ! Je ne me lasse jamais de mater son corps sculpté, et pourtant mince... Comment faire pour ne pas tomber illico sous le charme d'un type pareil ? Corps svelte, belle gueule, yeux adorables et look un peu rebel...

Je frissone... Lentement, il approche sa tête de la mienne et m'embrasse goulument.
-Pourquoi tu t'es fait viré ?
-J'étais crevé, je me suis endormi dans la resèrve.

-Ah bon ?

-Ouais. La nuit d'hier a été longue...
-Hmm. Doit-je en conclure que c'est de ma faute ?
-Ouais. Et je vais me venger, bouge pas.

Lui alors... En général il se laisse désirer, mais là, pour une fois, il a l'air décidé !
Il passa ses mains derrière son dos, je sentit quelque chose glisser de mes jambes, et ce fut une libération pour la partie de moi qui commencait à serieusement à m'accaparer l'eprit. Jeff retomba sur mon buste et continua de m'embrasser, doucement d'abbord, puis plus ardamment ensuite. Lentement, ses lèvres glissèrent des miennes pour descendre dans mon cou. Me faisant frissonner de désir, il s'attaqua à mon torse, sa bouche épousant de façon exquise la moindre parcelle de ma peau avide.

Putain ! Il a le don de se faire attendre, ce type... Il continuait sur mon torse, descendait le long de mon ventre jusqu'au nombril, son menton m'effleurait l'aine, puis...

Il remontait à mon cou.
Mais va s'y bon sang !!! J'attend !

Et au moment où je m'apprêtait résolument à lui prendre la tête pour le mettre face à l'endroit qui me démangeait le plus, ses mains se firent baladeuses, et caressèrent mon entre-jambe d'une infime légereté. Je gémit rien qu'à l'idée de se qui allait suivre... Jeff se décolla de moi, pour se caler, toujours alongé, sur le côté contre le dossier du canapé. Sa main droite se décida enfin à passer aux choses sérieuses... Son indexe comença à tourner autour, ce qui eu pour effet d'acelérer ma respiration, et de me faire gémir de plus en plus fort.

Le pied.
Je penchait ma tête en arrière et soulevait mon torse tout en m'abandonnant, les yeux fermés, aux sensations que seul Jeff, jusqu'à présent, m'eu fait ressentir.
Il me pris en main et ce geste fût suffisant pour que l'envie de me libérer apparaisse...
Il commença sont va et vient doucement et sans trop appuyer... Se faisant inévitablement attendre. Il augmenta la cadence ansi que sa poigne. Tout en continuant, il mit sa tête contre la mienne, et me mordillat doucement l'oreille...
Je plongeais dans mes penssées, atteignant presque le septième ciel... Pendant mon doux rêve, le téléphone sonna, et evidement, nous nous en fichions. Il y eu quand même un contre-temp... Le répondeur.

-"David ? Mon chérie c'est mamie, je t'appelait pour savoir si tu passerait pas à la maison un de ces jours dans la semaine, tu sais, ta soeur et tes neuveux sont là, ainsi que ta mère. Jeffrey est évidement aussi notre invité ! Rappele-moi vite ! Aller, je t'embrasse "
... Je suis resté sans voix. Evidement, mes beaux rêve se sont envolés avec la voix de ma grand-mère.
Fait chier.

Je m'étais endormis paisiblement sur le lit, rattrapant ma nuit blanche. Quelque chose est venu au dessus de moi... David l'incorigible. C'est un rêve... Mon pantalon glisse de mes jambes, et de mes pieds...? Mon boxer, aussi...? Bizzard, le rêve ! Une douce sensation me prend au corps, je frissone... Une chaleur m'envahit soudain. Je me lève en sursaut pour découvrir que David était en train de me la lécher.

 -Tu m'a fait peur !

Pour toute réponse, il me pris en bouche. Il commença par le haut, doucement, puis ses lèvres se refermèrent de plus en plus fort, me faisant mal tout en me procurant un plaisir intense, nourrit par ses descentes et ses suçons. Il commença même à me mordiller...
-Arrête, pas ça...
Il continua en serrant les dents de plus en plus fort, relachant sa prise, pour recommencer peu après.
-Arrête je te dit ! C'est précieux, j'en ai qu'une !
Je me redressais, lui soulevait la tête et l'attrapait par les hanches pour lui plaquer le ventre sur le lit, puis descendit du matelas. Tandis que moi, je me tenais debout, le toisant lui, couché, je maintint ses épaules afin de lui montrer, à ce bouffeur de queue, que j'étais le plus fort.
-Enfoiré !!!
-Attend voir...

Je lui descendit son boxer jusqu'aux pieds, et le pénétra entièrement d'un seul coup de hanche. Il hurla, je ressortit après avoir mit deux coups de hanches en plus, vengé.

Il a du avoir mal, quand même...
-T'es vraiment qu'un sale enfoiré !!!
-Ouais !
-Je vais te prendre, moi, tu vas voir !
-essaye.

Il tenta de me retourner à son tour, mais je résistait en rigolant. Il réussit tout de même à me balancer sur le lit, mais le temp qu'il arrive, j'avais déjà roulé sur le coté et pris la fuite dans le salon. Il tenta de me poursuivre, mais son boxer étant resté à ses pied, il trébucha d'une manière bien ridicule et manqua de se pendre le mur d'en face. Après avoir bien gueulé les mots qui convenait à sa situation, il se débarassa de son boxer et me regoignit dans le salon, bien décidé à m'attarper.
-J'en connais un qui va plus pouvoir s'assoir pendant un bout de temps !
-Je le connais ?

Il me courait carrément après, et je me marrait comme un gosse. Je me réfugiait d'un coté de la table, lui s'arrêtait de l'autre, et on commenca à faire le truc où on tourne autours sans jamais se croiser. David passait lentement par la droite. Je fit de même, j'allais à l'opposé, aux aguets.

Il tenta quelque feintes, mais à chaque fois, je réussisais à garder ma position.
-Tu m'aura pas, mon gros ! Faudra se lever plus tôt pour attraper super Jeff...
Il s'immobilisa soudain, comme s'il préparait une nouvelle entourloupe pour m'avoir, puis d'un bond vif, grimpa sur la table. Je m'enfuit du coté de la porte d'entrée, et mimobilisait juste devant elle.

Je vais te piéger, David...

Il me fonça dessus. Je mis mon piège à exécution : Au dernier moment, j'ouvrit la porte, mais ce petit malin avait anticipé et s'était arrêter avant. Profita de l'effet de surprise, David me tira hors de l'appart', et me referma la porte au nez.

J'étais à poil, dans le couloir de l'immeuble, là où tout le monde passe. Ah non, j'étais pas tout à fait nu, j'avais encore mes vieilles chaussettes snoopy.
Meeerde !